Sophrologie et aromachologie: deux techniques complémentaires pour trouver l’équilibre et le bien-être en douceur.

le pouvoir des huiles essentielles en olfaction combiné à la sophrologie
aromachologie ou le bienfait des huiles essentielles en olfaction


Aujourd’hui je voudrais vous parler de l’aromachologie.

L’aromachologie est une branche de l’aromathérapie.

Cette discipline utilise les huiles essentielles en olfaction dans une démarche visant le bien-être psycho-émotionnel de façon douce et naturelle.
N’oublions pas que l’odorat est notre sens le plus archaïque, le plus profond et probablement le plus puissant.
Agissant bien souvent à un niveau inconscient, l’odorat passe directement par le système limbique, siège de nos émotions.
Comme le démontrent de nombreuses expériences, les fragrances jouent un rôle notable sur notre psychisme.

Dans les années 80 de grandes entreprises japonaises dont Shiseido ont mesuré grâce à l’enregistrement des ondes cérébrales, l’effet de certaines notes sur l’organisme.

Très rapidement on a réalisé que des notes de lavande diffusées dans un parking par exemple, calmaient l’anxiété des usagers, que des notes citronnées permettaient aux employés d’effectuer leurs tâches plus rapidement.

D’autres odeurs encore étaient destinées à faciliter la concentration des employé(e)s qui rêvassaient en réunion. Autre expérience concluante dans un hôpital cette fois sur 10 patients souffrant de dépression et de troubles du sommeil.
On a diffusé dans leur chambre les notes d’un parfum antistress.
Au bout de 11 semaines, 7 d’entre eux faisaient des nuits normales et pouvaient se passer d’antidépresseurs, tandis que trois autres parvenaient à les réduire de moitié.

Un peu de mon parcours…

Depuis de nombreuses années, je m’intéresse à l’aromathérapie.
Comme beaucoup, j’utilise régulièrement les huiles essentielles pour prévenir ou soigner les petits maux de la vie quotidienne.

J’ai suivi une première formation de praticienne dans ce domaine.

Lorsque j’ai continué mes formations en sophrologie cette fois, j’ai instinctivement abordé cette discipline en y intégrant les huiles essentielles.
Une fois mes certifications obtenues, j’ai tout naturellement approfondi mes connaissances des huiles essentielles en m’orientant cette fois, vers l’aromachologie.
Je pense que ces deux pratiques s’harmonisent parfaitement et tendent vers l’équilibre et le bien-être de façons complémentaires et avec beaucoup de douceur.
Mais assez parlé de moi et voyons l’astuce du jour.

Petite astuce du jour combinant la sophrologie et l’aromachologie pour trouver la sérénité (voir l’illustration) :

Note : il s’agit ici de donner une astuce.
La séance en consultation, les exercices sont, bien entendu, beaucoup plus aboutis, et demande un travail de concert, une alliance entre le sophrologue et la personne sophronisée
  😉

En premier lieu, je vous suggère de sentir l’huile essentielle de mandarine rouge ou d’en diffuser dans la pièce.
Cependant, si l’odeur vous incommode, vous pouvez choisir à votre convenance le basilic (insomnie, anxiété, déprime), ou le bois de rose (soulage tensions et stress), le cèdre atlas (apaise l’esprit, relaxant et réconfortant) le géranium rose (répand joie et gaieté) etc

Attention toutefois aux contre-indications

Inspirez profondément, sentez et ressentez.
Laissez-vous porter par les effluves de l’huile essentielle.
Portez votre attention sur vos sensations, en toute conscience, en laissant les sensations se diffuser dans tout votre corps et votre esprit.
Vous pouvez également sentir l’huile essentielle en y mettant votre intention:
Vous inspirez profondément le calme, la sérénité, vous expirez toutes les émotions négatives et notez les changements qui s’opèrent en vous.

Lorsque vous êtes prêt, je vous invite à faire un chauffage corporel : cet exercice sophrologique vise à :
– apaiser et diffuser le calme dans le corps,
-se recharger en énergie, 
-détendre le ventre et les lombaires,
-améliorer l’oxygénation du cerveau.
Il permet de prendre conscience de sa respiration abdominale.
Il se pratique debout.
Respirez avec une main sur le ventre et une main sur les lombaires
Inspirez par le nez en gonflant le ventre et expirez par la bouche.
Prenez conscience de vos doigts qui se soulèvent et qui se rapprochent.
3x la tête droite
3x la tête en arrière
3x la tête en avant

1/ sentez  le relâchement de votre ceinture abdominale, prenez conscience des mouvements de votre ventre.
2/ Sentez la souplesse de votre ceinture abdominale, prenez conscience de l’amplitude des mouvements de votre ventre.
3/ Accueillez l’ensemble de vos sensations, prenez conscience de votre respiration abdominale.

Évacuer ses soucis, le stress, les tensions:

Trouvez un endroit calme où vous ne risquez pas d’être interrompu.
Positionnez-vous debout, les jambes écartées de la largeur du bassin, les genoux légèrement fléchis, la tête et le dos dans le prolongement de la colonne vertébrale, les épaules relâchées, les bras le long du corps avec les mains ouvertes.
Fermez les yeux.
Inspirez par le nez en fermant les poings.
Bloquez la respiration.
Haussez les épaules plusieurs fois.
Soufflez fortement en ouvrant les poings et en imaginant que vous évacuez vos soucis.
Répétez l’exercice 3 fois.

Cet exercice est idéal pour affronter un moment particulièrement stressant et désamorcer la montée d’angoisse, mais aussi pour faire redescendre la pression après un moment de stress.

Merci de votre intérêt.
N’hésitez pas à me faire part de vos ressentis.
Belle journée à vous.

Bienfaits de la sophrologie sur les acouphènes: pour un quotidien amélioré

La sophrologie et les acouphènes:
Comment elle agit dessus et permet de mieux les vivre, les gérer...

Source : résumé personnel d’un document trouvé sur unithèque (C. Baglione , P. Grévin superviseur : M. Ohresser)

On distingue 2 sortes d’acouphènes :

– Les acouphènes subjectifs (95 % des cas) :
Ils sont les plus fréquents. 
Le son n’est alors audible que par la personne atteinte. 
Ils correspondent à la production d’un signal nerveux, due à une hyperactivité neuronale.
Celui-ci est interprété, par défaut d’analyse, comme un bruit, lorsqu’il atteint le cortex.
L’acouphène est dit « neurosensoriel » lorsqu’il est associé à une hypoacousie de perception, liée à une affection de l’oreille interne (cochlée) ou du nerf auditif ou encore des voies nerveuses centrales de l’audition

-Les acouphènes objectifs (qui touchent 5% des cas) : 
Ils sont mesurables et peuvent être entendus par l’entourage. 
Ils peuvent avoir une origine musculaire. 
Certains acouphènes objectifs sont pulsatiles et synchrones du pouls (un petit vaisseau s’étant rigidifié vient battre contre l’os du rocher qui contient l’oreille.
L’oreille ne fait alors que transmettre le bruit du sang qu’elle entend).

Des origines multifactorielles

Les acouphènes peuvent :
-avoir des origines mécaniques,
-être dûs à des pathologies ou à des dysfonctionnements de l’oreille moyenne (acouphènes subjectifs),
-Trouver leurs causes suite à des traumatismes (sonores, crâniens avec fracture du rocher, un choc barométrique …).

Problèmes d’ordre général accompagnant l’acouphène:

Arthrose,
-Poussées d’hypertension,
-Diabète, cholestérol, troubles endocriniens,
-Chocs émotionnels : deuil, chocs psychologiques pouvant faire apparaître subitement un acouphène.

Acouphènes accompagnant d’autres symptômes ou pathologies :

Troubles auditifs
Les personnes acouphéniques sont gênées à :
-55 % pour la compréhension des sons forts,
-à 38 % dans le bruit,
-à 24 % pour la compréhension dans le bruit,
et seulement 28 % des patients ne présentent aucun trouble auditif ;
90 % des acouphènes sont la conséquence d’un trouble auditif (étude de Chery-Croze et Geoffray (91–99)
Une perte auditive est donc souvent liée à l’acouphène.
Cette perte entraîne une réduction des entrées sensorielles et des remaniements des voies centrales.

Hyperacousie
L’hyperacousie est un dysfonctionnement de l’audition caractérisé par une hypersensibilité de l’ouïe à certaines fréquences, une exacerbation de l’attention vis-à-vis des sons de l’environnement. 
Elle:
-résulte d’une altération de la diminution de la capacité de filtrage et de tolérance du système de perception des sons à des bruits même d’intensité normale.
-apparaît souvent après une exposition à un niveau sonore très élevé (concerts, discothèques, tir au fusil, chantiers…).
-peut aussi être d’apparition progressive, le sujet pouvant passer d’une audition sensible à une hyperacousie dans un temps plus ou moins long.

Vertiges de Ménière
La maladie de Ménière correspond à une affection de l’oreille interne. 
Elle évolue par crise : renforcement ou apparition de l’acouphène grave, sensation de plénitude d’oreille, baisse d’audition, puis survient le vertige qui immobilise le patient pendant 2 à 3 heures avec nausées et vomissements. 
Le patient est alors épuisé, s’endort ; à son réveil, tout est redevenu normal. Ces crises sont plus ou moins fréquentes. Avec le temps, généralement la baisse d’audition s’installe accompagnée de distorsions et d’un acouphène qui peut devenir permanent.

Bienfaits de la sophrologie en cas d’acouphènes: comment accompagne t-elle les personnes « acouphèniques » ?

La sophrologie apporte des bienfaits notables en améliorant votre quotidien si vous souffrez d’acouphènes.
Comment
En optimisant sensiblement votre tolérance, en mettant les bruits parasites à distance, modifiant vos perceptions. 

-La sophrologie agit sur le stress  (détail important lorsque l’on sait que le stress agit comme un amplificateur des acouphènes).
En effet, le cortex auditif (qui traite les sons) est lié au système limbique (siège des émotions).
Pour faire simple, plus une personne sera stressée, plus sa perception des acouphènes sera intense.

-La sophrologie va s’adapter aux problèmes accompagnant l’acouphène (d’où l’importance d’aller consulter un spécialiste ORL au préalable) en proposant différentes façons de travailler selon que l’on a de l’arthrose (le sophrologue prendra soin d’éviter certains exercices de relaxation dynamique comme des rotations de la nuque par exemple), des troubles auditifs ou des vertiges de Ménière ( travail sur l’ancrage, développement dans la conscience de la sensation de stabilité).

La sophrologie permet d’accélérer le processus d’habituation afin de :
– rendre la détection du signal de l’acouphène plus difficile pour le système nerveux : le sujet est plus calme et détendu et le système nerveux et émotionnel moins réactif ;
-amener le patient à classer l’acouphène comme signal sans importance (de manière à ce qu’il puisse être « négligé ») et à retrouver ainsi un quotidien plus serein.

La sophrologie va permettre de travailler également sur les émotions négatives:
L’anxiété peut parfois se généraliser. Différentes problématiques s’entremêlent alors : agitation, tensions, difficultés de concentration et troubles du sommeil avec parfois des insomnies. Il est à noter que la tonalité affective donnée à l’acouphène dans la journée aura un impact sur les nuits de sommeil. Si le patient se réveille, il s’agace de l’acouphène entendu ; une boucle se met alors en place renforçant ainsi l’image négative du symptôme et pouvant provoquer des insomnies.

La sophrologie va aussi travailler sur d’éventuels troubles de l’humeur en lien avec la problématique soulevée:
En effet la personne souffrant d’acouphènes )peut perdre de l’intérêt pour ses activités, sa créativité peut s’amenuiser, et il ressent moins de « plaisir à faire ».
Il s’agira de renforcer les structures de la conscience en s’aidant d’une image agréable, pour laisser émerger ce positif enfoui et perdu dans « ce bruit ».
Le sujet se projette parfois dans un avenir déplorable, rythmé par le conditionnel: « Et si l’acouphène augmentait… » « Et si je ne parvenais pas à vivre ainsi » .
Il ne fait plus confiance à son corps qui l’a « trahi » . En fait, il ne se fait plus confiance.
Des exercices sophrologiques lui permettront d’évoquer toutes ces ressources qu’il possède : sensation, perception, attention, concentration, communication, émotion, sociabilité…

Des troubles de l’adaptation peuvent entraver la vie du patient tant au niveau émotionnel que comportemental, telle l’altération du comportement social : le patient, trop gêné par le bruit, s’isole puis refuse de sortir ; il se replie sur lui-même, ne vit plus aucune sensorialité.
Dans ce cas, le travail sur les cinq sens ouvrira le champ de conscience sur cette sensorialité souvent reniée ; les autres sens fonctionnent, ils existent, permettant la relation au monde. 

Le sophrologue peut aider le patient à « faire face » à ces situations de vie renforçant (et parfois provoquant) des crises aiguës d’acouphène.
Il va lui proposer par exemple à trouver son lieu ressource.
Comme son nom l’indique, cet endroit lui permettra par la pensée, à se ressourcer pleinement. (cliquez sur ce lien pour vous faire une idée: https://www.youtube.com/watch?v=f9ieaMr1rjQ ).
Le geste signal , ou geste conditionné, sera un outil à travailler disponible à tout moment dès que des facteurs favorisant les prémices d’une crise d’acouphènes apparaitront.
Le sophrologue et la personne acouphénique définissent ce geste signal, lorsque celle-ci atteint une plénitude, une sérénité intense.
Une fois ce geste bien ancré, il suffira de le reproduire pour retrouver cette paix intérieure. voir https://youtu.be/uxHbkvsy-UU

Nous avons vu les bienfaits qu’offre la sophrologie en cas d’acouphènes; cependant, le sophrologue doit avoir conscience de ses limites.
Il proposera au patient un soutien auprès d’un confrère psychologue ou psychiatre, si cette démarche n’a pas déjà été faite.

Je pense que vous avez désormais une idée beaucoup plus précise des bienfaits qu’apporte la sophrologie en cas d’acouphènes.

N’hésitez pas à me contacter pour un suivi sophrologique.
Belle journée à vous.

Sophrologie: développer la confiance en soi chez l’enfant

iComment développer sa confiance en lui/elle grâce à la sophrologie et des astuces pertinentes

 

Les enfants, à l’instar des adultes, ont leur lot de stress, de
petits et grands maux.
Certains contextes tels que des difficultés scolaires, des exigences parfois trop importantes, des rythmes très soutenus…peuvent aussi perturber leur développement, engendrant parfois diverses perturbations comme des troubles du sommeil de l’anxiété, des difficultés à se concentrer, à mémoriser…

La sophrologie est en mesure d’apporter des réponses à ces problématiques en renforçant chez l’enfant, la conscience de son schéma corporel, de ses perceptions, la maîtrise de sa respiration, le développement de son autonomie, de la confiance en lui….
En somme, en lui permettant de libérer tous ses potentiels.
Aujourd’hui, nous allons nous attacher à la confiance en soi.
Comment développer cette confiance chez l’enfant, notamment à l’école, grâce à la sophrologie.

Exercice : se libérer de ses peurs :

Objectif : Permettre à l’enfant de se libérer de la peur et de stopper la montée d’angoisse. Cet exercice lui permet de chasser le négatif.
Si l’enfant craint par exemple d’aller à l’école ou appréhende un contrôle, pratiquer cet exercice avant de se rendre à l’école.
(On peut aussi effectuer cet exercice pour se libérer de toute pensée négative).

Invitez l’enfant à se mettre debout, le dos bien droit, ses bras le long du corps.
Demandez-lui d’inspirer profondément par le nez en fermant ses poings.
Proposez-lui de se visualiser en train d’écraser ses peurs dans la paume de ses mains.
Maintenant, demandez-lui de bloquer sa respiration et de pomper les épaules (il les monte et descend).
Puis, proposez-lui de souffler très fort par la bouche, en jetant ce qu’il reste de sa peur loin devant lui.
A recommencer plusieurs fois.
Vous pouvez proposer à l’enfant d’observer ses sensations.

Maintenant que le négatif est chassé, on peut le remplacer par du positif.

Exercice: se remplir de courage, de force, de confiance

Objectif : diffuser en lui du courage, de la confiance…ce dont il a besoin pour appréhender sa journée sereinement.
En premier lieu, invitez l’enfant à se mettre debout.
Demandez-lui de poser ses mains sur ses côtes et d’inspirer en tirant les coudes vers l’arrière pour ouvrir la cage thoracique et de s’imaginer se remplir de courage et de confiance.
Invitez-le à souffler doucement pour les diffuser dans son corps et à laisser ses mains revenir en position initiale.
Proposez-lui de garder les mains sur les côtes quelques instants, comme un super héros avec sa cape.
Ensuite, il peut imaginer ses héros préférés à ses côtés le soutenir.
A recommencer plusieurs fois.
Pour conclure, vous pouvez proposer à l’enfant d’observer ses sensations, à partager ses ressentis avec vous.

De la sophro…mais pas que…voici d’autres astuces pour renforcer la confiance en lui de son enfant.

Exercices pour renforcer l’estime de soi des enfants (source : il me semble que j’avais vu cet article sur Papa positive.fr et chez une consœur mais je ne retrouve plus le lien désolée).

Pour commencer, invitez l’enfant à dessiner son modèle (héros, héroïne) sur la première feuille.
Puis, demandez-lui de choisir les forces qu’il/qu’elle admire chez ce personnage sur la deuxième feuille.
Enfin, révélez la troisième feuille en lui expliquant qu’il a ces forces en lui/elle et qu’elles n’attendent qu’à être développées.
Ecrivez son nom à côté de son modèle.


Objectif : Dessiner va permettre à l’enfant à la fois de se concentrer sur
son modèle et de se détendre.
On est proche d’un état de pleine conscience.

Le choix des forces n’est pas anodin. En effet, il s’agit de celles qui ont été identifiées par Martin Seligman et Christopher Peterson dans le cadre de la psychologie positive ( voir article http://www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2016-03-08/24- forces-de caractere-6-vertus).
Prendre conscience de la présence de ces forces, va permettre de les utiliser (pour les développer) et de renforcer l’estime de soi de l’enfant.
Mais vous pouvez parfaitement adapter les forces de cette liste et même y insérer des faiblesses.
Ce dialogue sur les faiblesses peut d’ailleurs être l’occasion de décomplexer l’enfant sur des jugements qu’il aurait pu entendre. La perfection n’existe pas, nous avons tous des points faibles et c’est ce qui nous rapproche les uns des autres.

Il existe d’autres astuces pour développer sa confiance en lui:
Par exemple, créer un carnet de succès: à chaque fois que votre enfant surmonte une peur, une difficulté, réalise un objet…il peut le répertorier dans son carnet à succès. Il peut l’illustrer, le décorer, coller des dessins, des photos…
Voir son carnet s’étoffer, pourra lui permettre de prendre conscience du chemin parcouru et lui donner l’élan d’en réaliser bien d’autres.
Et s’il se sent découragé?
pour conclure, vous pouvez lui rappeler que des artistes, des sportifs célèbres ont eu des difficultés avant de connaître le succès.
Il n’y a pas d’échec ! Il n’y a que des expériences 🙂
J’ai fait un petit montage photo pour illustrer les difficultés qu’ont dû surmonter certaines célébrités pour illustrer mon propos: (désolée pour la qualité médiocre de l’image).


Concluons par une petite méditation guidée pour développer sa confiance en lui/elle:https://binged.it/2tWjmLM

 

Cultiver le bonheur: astuce bien-être

cultiver le bonheur: porter un regard positif sur la vie et porter son attention sur ce qui nous rend heureux.
bonheur: être heureux et porter un regard positif sur la vie

Avant de commencer, permettez-moi de vous présenter tous mes voeux pour cette nouvelle année 2019.
Que la vie vous sourit et vous emerveille!

Comme le dit le sage « Le plaisir se ramasse, la joie se cueille, le bonheur se cultive ». Bouddha

Et c’est précisément l’objet de mon article aujourd’hui: cultiver le bonheur!
Nous avons vu dans ce post -> https://catherinemattei.com/astuce-sophro-mes-3-petits-bonheurs , comment appréhender la vie sous un angle plus positif.
Je vous propose en ce début d’année une autre astuce, dans un esprit similaire.
– Notez sur un petit bout de papier vos moments de joie.
-Glissez-les dans un joli bocal prévu à cet effet.
-Procédez ainsi tout au long de l’année.

L’année prochaine, vous pourrez vous replonger et revivre avec delectation tous ces instants magiques que la vie vous offre malgré les tempêtes.

Variantes:

-Vous pouvez décliner ce bocal résolument positif en « bocal à succès »; même principe: vous notez tous vos succès petits et grands;
Ainsi, vous réaliserez toutes les embûches surmontées:
-Vous serez peut-être plus enclin(e) à porter un regard bienveillant sur votre parcours .
-Vous prendrez conscience des ressources dont vous avez fait preuve pour évoluer.

-Dans le même esprit, pourquoi pas un bocal « ce que j’aime chez toi »:
-vous répertoriez tout ce qui vous plait chez votre conjoint(e), vos moments à deux, ses traits de caractère qui vous attendrissent etc.
Pendant une période délicate dans la vie à deux, vous porterez peut-être votre attention sur ce qui fait que votre amour est unique à vos yeux, en vous focalisant un peu moins sur ce qui vous agace en ce moment…
J’espère que cette astuce vous plaira et qu’elle contribuera à apporter du positif dans votre existence.

Lâcher prise: « Si le problème a une solution, il ne sert à rien de s’inquiéter, mais s’il n’y a pas de solution, s’inquiéter ne changera rien ». Bouddha

Lâcher prise grâce à la sophrologie, à la PNL, à la visualisation créatrice.
lâcher prise grâce à la sophrologie, la PNL, la méditation

Lâcher prise ne signifie pas renoncer.
C’est appréhender les aléas de la vie d’une façon différente en permettant les nouvelles possibilités de s’offrir à vous.
En d’autres termes, il ne s’agit pas de démissionner, mais de considérer les choses sous un autre angle, en acceptant de ne pas tout contrôler.

Voici une métaphore qui illustre bien ceci:
En indonésie, on capture les singes en les piègeant.
Le principe est simple: Le chasseur glisse un fruit dans une grosse citrouille.
Lorsque le singe y plonge ses doigts pour saisir le fruit, il ne parvient plus à s’en libérer sauf s’il lâche le fruit.
Or, la majeure partie du temps, le singe ne veut pas le laisser et se retrouve piégé.

Vous voyez où je veux en venir?
Que refusez-vous de lâcher?
Une blessure? Une croyance limitante? Un regret?
Quoi que ce soit, pourquoi ne lâchez-vous pas ce fruit qui vous entrave, tel le singe dans la métaphore?
Que gagneriez-vous en libérant « votre main »? qu’y perdiez-vous?

Comment la sophrologie et la PNL peuvent nous permettre d’accéder au lâcher prise?

Le besoin de contrôle répond bien souvent au manque de confiance (en soi, en la vie), aux croyances limitantes, à la peur etc…
Dans des articles précédents, je vous ai donné quelques clés pour lutter contre les croyances limitantes ( voir ici: https://catherinemattei.com/vaincre-les-croyances-limitantes), pour apprendre à vivre l’instant présent (voir ici: https://catherinemattei.com/retrouver-son-ame-denfant), je vous invite à explorer ces pistes.
La visualisation aide à retrouver le calme intérieur, aussi je vous propose de tester
cette méditation guidée en cliquant sur le lien suivant: https://youtu.be/DKdMVns9IqY

N’hésitez par à me faire part de vos ressentis après avoir effectué les exercices.
Avez-vous noté une évolution? Un mieux-être? Une libération des tensions peut-être?

Merci de votre intêret,
Bonne journée
Kintsugi

Retrouver son âme d’enfant

retrouver son âme d'enfant en vivant le moment présent, en développant sa créativité, en lâchant prise

« Qui garde son âme d’enfant ne vieillit jamais » Abraham Sutzkever

Avez-vous observé les enfants ?
Avez-vous remarqué comment ils vivent pleinement l’instant présent, laissent libre cours à leur créativité, s’exaltent sans se soucier du regard d’autrui avec un total lâcher prise et une innocence inouie.
Pour eux, rien n’est irréalisable! Ils peuvent ambitionner d’être cosmosnaute ET princesse, sans qu’un seul instant, l’ombre d’un doute ne surgisse dans leur esprit.
Personnellement, je trouve que les adultes ayant gardé leur âme d’enfant ont une aura atypique: ils rayonnent, ils ont une fraîcheur particulière et une propension à s’emerveiller de leur monde environant.
Retrouver son âme d’enfant c’est se reconnecter à lui, à ses rêves, à sa spontanéité…
C’est reconquérir son enthousiasme , sa créativité, sa liberté d’être.

C’est précisémment ce que je vous invite à faire aujourd’hui: vous reconnecter à votre âme d’enfant.
Joli programme n’est-ce pas?

Vivre le moment présent, en pleine conscience

La majeur partie du temps, nous ressassons le passé et/ou nous nous inquiétons pour le futur.
Comment vivre pleinement le moment présent, comment trouver le calme dans ces conditions?
Il s’agit de ramener votre attention dans l‘ici et maintenant à l’instar des bouddhistes en cultivant la pleine conscience.
Cela requiert de l’entraînement.

S’exercer à la pleine conscience:

-Lorsque vous ruminez des pensées négatives, lorsque vous vous inquiétez pour demain, accueillez l’ici et maintenant.
Pour se faire, c’est trés simple: portez votre attention sur vos ressentis; notez comment ces pensées se manifestent dans votre corps (noeud à l’estomac, boule dans la gorge, tension aux épaules par exemple).
Puis, laissez passer ces pensées tel un nuage. En sophrologie, il ne s’agit pas d’occulter les émotions, mais de mieux les gérer.
-Focalisez votre attention sur ce que vous faites en observant vos ressentis.
Pour vous aider, sollicitez vos sens.
exemple: imaginons que vous vous promenez.
Vous ressassez vos inquiétudes: accueillez-les, observez comment elles s’impriment dans votre corps et votre esprit, laissez-les passer tel un nuage et revenez à l’ici et maintenant:
*Que voyez-vous? la nature a t’elle revétu ses plus beaux atours? comment est le ciel? dégagé? gris?
*Qu’entendez-vous? Le chant des oiseaux? Le bruissement d’un ruisseau? Vos pas sur le chemin?
*Que sentez-vous? L’odeur des sous-bois? Le parfum des champignons? De la résine des arbres?
*Sollicitez votre toucher aussi: carressez le tronc d’un arbre par exemple; est-il rugueux? lisse par endroits?

Voilà, vous avez expérimenté l‘instant présent en pleine conscience.
Notez les changements immédiats qui se sont manifestés dans votre corps et votre esprit.
Vous pouvez vous exercer de la sorte à toute occasion; pendant que vous cuisinez par exemple.
Cultiver l’instant présent en pleine conscience libère votre esprit, détend votre corps.

Développer sa créativité:

Tandis que l’hemisphère gauche de notre cerveau tend à percevoir le monde de façon logique et rationnelle, l’hemisphère droit est le siège de la créativité, de l’expression, de l’imaginaire.
Le stimuler nous permet d’accéder à nos propres ressources; il est par ailleurs sollicité en sophrologie et en PNL en libérant son pouvoir créateur grâce à des leviers comme la visualisation.

Comment libérer son potentiel créatif?

-Si vous avez l’âme d’un artiste, la créativité peut bien-sûr s’exprimer en dessinant, en jouant d’un instrument, en écrivant…..
-Vous pouvez également la stimuler en faisant des associations d’idées: tel paysage vous fait penser à tel film, à telle chanson etc.
-Changez vos habitudes, vos routines, soyez curieux! découvrez de nouvelles saveurs, faites de nouvelles rencontres, sortez de votre zone de confort, débutez une nouvelle activité….Les opportunités de stimuler sa créativité sont nombreuses.
-Visualisez: Comme nous l’avons-vu précédemment, la sophrologie et la PNL utilisent beaucoup la visualisation car elle élargit tout un champs de possible.
N’oublions pas que le cerveau intègre une image créée mentalement comme une réalité.
La méditation guidée est un outil non négligeable pour s’exercer à la visualisation.
Si vous éprouvez de la difficulté à visualiser, parce que vous êtes plus kinesthésique par exemple, essayez d’intégrer à la visualisation tout ce qui ramène au ressenti et au toucher.
Exemple: si vous peinez à visualiser un paysage; ressentez le vent dans vos cheveux, éprouvez vos ressentis (paix intérieure, calme etc.), imaginez-vous glisser vos doigts dans l’herbe fraîche… La visualisation sera ensuite facilitée.

Se reconnecter à son âme d’enfant, c’est aussi lâcher prise

Pour cela, il convient de se détacher le plus possible du regard des autres, de cesser de se conformer à tout prix (ou à n’importe quel prix) à ce que l’on attend de vous au détriment de vos besoins au moins un instant, le temps d’une parenthèse.

Lorsque vous ressassez, ruminez, stressez, faites ce petit exercice de sophrologie:
Cela s’appelle la respiration au carré.
-Installez-vous confortablement.
-Prenez une profonde inspiration pendant 3 secondes,
-Gardez l’air dans vos poumons pendant 3 secondes,
-Expirez durant 3 secondes,
-Restez poumons vides pendant 3 secondes.
Renouvellez l’exercice 3 ou 4 fois, le calme opérera.

-Voici une méditation guidée pour lâcher prise: https://youtu.be/6XFPkY6o83k

  • Observez le monde, les choses comme si vous les découvriez pour la première fois. Vous verrez comme foule de petits détails vous ont échappé.

Vous avez quelques pistes pour développer votre créativité, à vous de jouer!

Astuce sophro: mes 3 petits bonheurs

astuce sophro: mes 3 petits bonheurs ou comment se focaliser sur ces petits rien qui nous rendent heureux
mes 3 petits bonheurs

Ah le bonheur me direz-vous…
Vaste question!
Et pourtant….
La plupart des gens est en quête du bonheur absolu.
Lorsqu’on pense au bonheur, on croit qu’il correspond à un idéal, englobant la réussite dans le couple, professionnelle, personnelle, familiale….
C’est là où le bât blesse, à mon humble avis, car le bonheur absolu me semble utopique.
De plus, je trouve que cette façon de raisonner met une pression telle, qu’elle ne peut générer que de la frustration.
Pour moi, le bonheur réside précisément dans les petites choses:
Un rire d’enfant, un rayon de soleil, un sourire dans la rue….
Tous ces petits riens sont précieux; ce sont eux qui nous permettent de dédramatiser les jours difficiles, de trouver la force de nous relever lorsque la vie nous malmène…

Lorsque nous traversons la tempête, nous avons tendance à nous focaliser sur ce qui nous trouble, nous contrarie.
Et nous ruminons à longueur de journée.
Pas trés constructif et saboteur.

Si vous êtes concerné(e) par ce comportement, je vous invite à faire ce petit exercice tout simple: « Mes 3 petits bonheurs« .
Tous les soirs, au lieu de ressasser vos idées noires, faites le bilan de votre journée et comptabilisez vos 3 petits bonheurs.
Peu importe ce que c’est: une musique que vous appréciez, un mets savoureux, le sourire d’un passant, une journée ensoleillée….
Au début, vous risquez d’avoir du mal à les comptabiliser mais croyez-moi, c’est très efficace.
Au fil des jours, vous pouvez agrandir votre liste en passant à 4, 5,6 petits bonheurs ainsi de suite.

Vous verrez peu à peu la magie opérer: vos pensées ne se focaliseront plus sur ce qui vous tracasse mais sur des choses positives, un peu comme un photographe qui changerait son angle de vue, vous allez apprendre à apprécier ces petits riens.
Et vous? Quels ont été vos petits bonheurs du jour?

Ikigai ou comment trouver sa raison d’être

Qu’est-ce qu’un Ikigai ?

Ce terme est souvent utilisé au Japon pour parler d’une passion qui nous aide à donner du sens à notre vie.
On pourrait le traduire comme « la raison de se lever chaque matin ».

En quoi découvrir votre Ikigai peut être enrichissant ?

Trouver votre ikigaivous permettrait de libérer et de développer votre potentiel, d’enrichir votre vie et celle de votre entourage, de mettre en lumière vos aspirations.
C’est une démarche personnelle; vous seul(e) avez les clefs.
Découvrir votre ikigai demande de l’introspection, parfois du temps.
Sa quête est l’opportunité de discerner ce qui vous fait vibrer, vous épanouit et vous rend heureux.

Pourquoi aborder l’ikigai ici?

La sophrologie et la PNL mettent en exergue nos ressentis, nos valeurs profondes, nos potentiels, nos objectifs…
Pratiquer ces disciplines donne lieu à une prise de conscience, nous aide à mobiliser nos propres ressources et peut être complémentaire à la découverte de notre Ikigai ( lors des visualisations créatives ou du choix de l’objectif par exemple).
De plus, la sophrologie et la PNL tendent à rétablir l’harmonie du corps et de l’esprit; trouver le sens à sa vie serait par conséquent le premier pas envisageable dans cette quête de l’équilibre.

Comment trouver votre ikigai ?

Pour ce faire, je vous invite à répondre aux questions suivantes en prenant tout votre temps avec sincérité et sans jugement:

*Qu’est-ce que j’aime faire ,quelle activité me procure le plus de plaisir?
Recensez vos loisirs, vos passions, les activités que vous aimez pratiquer ou que vous voudriez découvrir.

*Qu’est-ce que je sais faire ?
Vous pouvez interroger vos proches pour vous aider. Il s’agit de noter ici ce pourquoi vous êtes doué(e) naturellement, sans effort particulier.

*Ce pourquoi je suis ou je pourrais être payé(e)?
Notez votre profession ou le job de vos rêves, ou encore le domaine où votre talent pourrait s’exercer moyennant rétribution.

*Ce dont le monde ou mon entourage a besoin?
Ici, vous pouvez énumérer la/les cause(s) que vous défendez ou aimeriez défendre.
Pour vous aider: vous sentez vous liée à l’environnement, aux animaux, aux enfants, aux autres femmes ?
Quelles sont les injustices qui vous attristent et vous donnent envie de réagir ?
Dans quelles associations êtes-vous engagée ou aimeriez-vous être engagée ?


Le schéma joint à l’article peut vous aider à déterminer votre ikigai.
Il vous suffit de le remplir dans les cases dédiées en y inscrivant des mots clés.
Maintenant que vous avez annoté vos réponses, il vous suffit de trouver votre dénominateur commun: c’est votre ikigai!
Cet exercice peut être refait à diverses étapes de votre vie, car vous évoluez au fil des années 😉

schéma pour aider à trouver son ikigai
schéma pour définir son ikigai

Croyances limitantes: méditation guidée pour les transformer.

Je vous propose une méditation guidée destinée à vaincre vos croyances limitantes.
https://youtu.be/J40l6AOvM1Y

Un article est dédié à cette problématique: vous y trouverez des astuces et outils sophrologiques, PNL pour en venir à bout et les transmuter en croyances constructives et positives. 

Pour le consulter, merci de cliquer ici: 
https://catherinemattei.com/vaincre-les-croyances-limitantes

Croyances limitantes: les vaincre grâce à la sophrologie et à la PNL

Nos comportements, nos réactions, nos perceptions sont dictés par notre carte du territoire: c’est à dire, par nos valeurs, notre vécu, notre environnement, notre éducation…
Nos croyances façonnent notre comportement.
En se référant à notre expérience, nous adoptons tels attitudes ou regards sur la vie.
Nos croyances sont  déterminantes sur notre façon de mener notre existence.
Il y a deux sortes de croyances:
-Les stimulantes
-Les limitantes
Nous allons nous attacher aux croyances limitantes: voir comment les reconnaître, comment la sophrologie et la PNL conjuguées sont performantes pour les combattre.

1/ Que sont les croyances limitantes ?

Ce sont des croyances que nous considérons comme des vérités avérées et constantes.
Elles annihilent notre potentiel en nous faisant renoncer à nos rêves, à nos projets.
Acquises lors nos expériences passées et durant notre éducation, elles s’ancrent alors inconsciemment dans notre esprit comme des faits établis, nous conditionnant et nous empêchant de progresser.
Convaincus de leur véracité, nous reproduisons inlassablement les mêmes erreurs, les mêmes schémas.

2/ Repérer ses croyances limitantes:

Il peut être ardu de repérer ces croyances tant elles peuvent être enracinées dans notre inconscient.
Pour les detecter, voici quelques phrases types de ces pensées:
-« Je suis trop vieux, trop jeune, trop gentil, trop grand, trop petit … pour… »
– » Je ne peux pas, je ne suis pas capable … »
– » Je ne suis pas assez forte, sportif, belle … »
-« J’aimerais bien faire ça MAIS… »
-« Si seulement… »
-« Ce n’est pas pour moi… »
-« Je suis nul… »
Maintenant que vous savez repérer ces croyances, vous pouvez faire ce petit exercice pour réaliser à quel point elles sont ancrées en vous au quotidien:
-Mettez un elastique autour de votre poignet,
-A chaque fois que vous prenez conscience de ces pensées, tirez sur votre elastique.

Ainsi, cela agira comme un electrochoc et vous premettra d’agir en conséquence.

3/ Transmuter ses croyances limitantes en croyances constructives et positives grâce à la sophrologie et à la PNL:

-Lorsque une telle croyance se manifeste, laissez-la s’exprimer, rajoutez un « MAIS » suivi d’une affirmation positive.
Il s’agit d’énoncer un fait constructif et avéré.
Exemples:
*Pensée limitante -> « Je ne me sens pas capable de faire… » suivie de « MAIS, j’ai souvent surmonté des obstacles que je croyais infranchissables par le passé ».<-pensée constructive.
*Pensée limitante -> « Je ne suis pas assez forte pour…. » suivie de « MAIS, je suis persévérante et volontaire ».<-pensée constructive.

Cela rompt ce cercle vicieux, cet ancrage qui sabote votre vie.
Il a été démontré que le cerveau n’imprime que ce qui suit le « MAIS », (réalisez les dégâts que cela produit lorsque les pensées suivantes sont limitantes).

-Enracinez d’autres croyances beaucoup plus positives dans votre esprit en vous les répétant quotidiennement:
Exemples:
-« Je :
suis capable de… 
mérite…
suis digne de… ».

Remémorez-vous vos succès.

Ainsi, vous porterez un regard bienveillant et positif sur votre vie et vos capacités.

-Fixez-vous un objectif SMARTER:

*Spécifique : définissez votre objectif de façon positive, précise. Qui est impliqué ? identifier les exigences et les contraintes.
Qu’est-ce que je veux accomplir ?
Où : Identifiez un lieu.
Quand : Établissez un intervalle de temps.
Pourquoi : Pour quelles raisons spécifiques est-ce que je veux atteindre ce but ? Quels seront les avantages de l’accomplissement de cet objectif ?

*Mesurable : Utiliser un indice tangible pour définir l’objectif et mesurer l’avancement. Pour cela, prévoyez des étapes, vous mesurerez ainsi, vos progrès.

*Atteignable : Il doit être à la fois ambitieux, mais atteignable pour mobiliser vos ressources et votre motivation.

*Réaliste : votre objectif doit respecter vos contraintes et vos limites.

*Limité dans le Temps : Déterminez une échéance au projet, afin de le délimiter dans le temps et éviter la procrastination.

*Ecologique : Assurez-vous que votre projet soit bénéfique et qu’il ne nuit ni à vous, ni à quiconque.

Représentable : Un objectif que vous ne pouvez pas vous imaginer est un objectif auquel vous ne croyez pas.

-Outil de la sophrologie et de la PNL: la visualisation créative.
C’ est l’une des méthodes les plus efficaces pour programmer votre esprit.
Les yeux fermés, essayez de vous visualiser en train d’atteindre votre but.
Visualisez l’action, l’image ne doit pas être fixe.
Imaginez-vous le scénario positif en sollicitant tous vos sens, en vivant la scène avec le plus de précision possible.
Projetez- vous, étape par étape, en analysant tout ce qui serait nécessaire pour atteindre votre but et visualisez-vous en train de les réaliser.

Les techniques de visualisation permettent de leurrer votre cerveau.
En effet, l’utilisation de l’imagerie mentale fait que votre inconscient reçoit la construction mentale induite, comme une réalité.
D’où l’intérêt de cette technique pour la sophrologie et la PNL.
En d’autres termes, pour votre cerveau, vous avez réellement vécu cette expérience.
Aussi, plus vous allez vous entraîner à la vivre, plus votre cerveau la percevra comme une réalité.

Méditation guidée pour transmuter vos croyances limitantes :

https://catherinemattei.com/croyances-limitantes-meditation-guidee-pour-les-transformer